Merci à Eckhard Weber
A son travail à sa passion sur l’eau et à son livre « Vitalisez votre eau » qui nous parle de Viktor Schauberger (1885-1958) et dont les lignes qui suivent sont extraites .
Issu d’une famille autrichienne de gardes forestiers qui s’est heurté à son père pour devenir garde forestier lui aussi..Cette capacité à observer il la tenait de son père et des membres plus âgés de sa famille, et les choses qu’il pouvait observer étaient bien souvent en totale contradiction avec les choses enseignées dans les universités.
Dès la fin de la première guerre mondiale il commença à s’intéresser à l’eau et à son comportement. Il a par exemple remarqué qu’une cabane en pierre construite à proximité d’une source ayant été rasée cette source proche commençait à se tarir , Schauberger pensait qu’il y avait un lien entre la démolition de la cabane et le tarissement de la source .
Il proposa de reconstruire la cabane au même endroit et aussitôt reconstruite mettant à nouveau la source à l’ombre, l’eau rejaillit ..
A ce moment là Schauberger fit particulièrement attention aux cours d’eau qui étaient gênés dans leur écoulement et il constata que lorsqu’un arbre qui donnait de l’ombre à un ruisseau avait été abattu ou était tombé, davantage de galets se déposaient dans le lit du ruisseau, ces galets entravant le mouvement serpentant du ruisseau, donc sa capacité à brasser et à se régénérer lui-même, et que tout n’était pas fait « par hasard » que les cours d’eau se déplaçaient en faisant des méandres et que leurs rives étaient recouvertes d’arbres et de buissons fournissant de l’ombre et que s’il en est ainsi c’est que l’eau a besoin de rives ombragées pour se déplacer afin de se protéger de la lumière directe du soleil.
Il vit au cours d’une nuit de pleine lune tournoyer des pierres plates et ovales qui s’étaient amassées au fond d’un torrent et remonter à la surface bien que beaucoup plus lourde que l’eau, Archimède s’en trouvait contredit . Il se souvenait de ce que lui disait son père à propos de l’eau qui perdait sa force et devenait paresseuse quand elle était exposée aux rayons du soleil et qu’elle retrouvait tout son courage lorsqu’elle était exposée aux rayons lumineux de la pleine lune l’eau atteignant sa densité maximum et donc sa force maximum à 4° C et l’eau de source naturelle lors des nuits fraîches et claires éclairées par la pleine lune peut soulever des lourdes pierres et transporter des lourds troncs d’arbres.
Au cours de l’hiver 1918 une quantité d’arbres coupés devait être acheminés, depuis les hauteurs escarpées de son district jusque dans la vallée, à moindre frais. Pour ce faire un concours fut organisé et de nombreux experts dans le transport du bois apportèrent leur contribution. Le modeste garde forestier Schauberger obtint la primeur même si son projet ne fut retenu à l’origine que pour son faible coût. Il mit à profit tout ce que l’eau lui avait appris sur ses capacités de portage et de tractage à température optimale, et par son véritable mouvement, Schauberger construisit une voie d’acheminement avec dans la dernière partie un chenal alluvial en planche. Ce qui au départ semblait être une mauvaise plaisanterie s’avéra un franc succès l’ensemble des troncs d’arbres fut acheminé dans la vallée jusqu’à la scierie non seulement pour peu de frais mais en plus en excellent état.
L’attrait soudain de l’industrie pour les découvertes de Schauberger ne se fit pas attendre mais le garde forestier qui voyais plus une déforestation en règle des montagnes ne donna pas suite aux requêtes des industriels peu scrupuleux, et préféra poursuivre ses travaux sur la revitalisation de l’eau morte ou polluée.
Il fit breveter de nombreuses inventions « écoulement en chenal » ; « production d’eau potable semblable à l’eau de source » il mit au point des tuyauteries et des tubulures spéciales, des tubes tournant en spirales, dont la forme rappelle celle des cornes d’antilopes. A travers ces tuyaux spécifiques l’eau devait serpenter et retrouver son cheminement originel et intrinsèque sans pression extérieure, une étude s’en suivit mettant en évidence que l’eau cheminant au travers de ces tubulures spéciales aux formes « biscornues » ne subissait plus ou quasiment plus de frottements. Ce résultat affirmé par Schauberger fut confirmé par Franz Popel pour le ministère de l’eau dans les années 1950.
Pendant la dernière guerre ses plans et appareils sont saisis par la gestapo et il tombe entre les mains de la Wehrmacht pour qui il doit travailler avec d’autres ingénieurs détenus. A la fin de la guerre il voit cette fois ses plans et travaux saisis par les Américains où il se retrouvera en 1958 au Texas après avoir accepté une proposition alléchante sur les découvertes qu’il avait faites sur l’antigravitation. Après avoir été contraint d’abandonner tous les droits sur les recherches effectuées au Texas il revint en Allemagne et cinq jours après il meurt…
